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+ L'Institut de l'art canadien

Publié par Emmanuelle Breton dans + Bienfait de l'art · 4/4/2017 11:19:52



Des livres, en français et en anglais, à télécharger gratuitement sur des artistes grâce à L'Institut de l'art canadien. Découvrez la vie et l'oeuvre d'artistes canadiens comme :

Greg Curnoe, Jock Macdonald, Paraskeva Clark, Shuvinai Ashoona, Pitseolak Ashoona, Paul-Émile Borduas, Oscar Cahén, Yves Gaucher, Jean Paul Lemieux, Norval Morrisseau, Michael Snow, Tom Thomson, Joyce Wieland, etc.

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+ L’art donne une profondeur à l’existence

Publié par Guylaine Chevarie-Lessard dans + Bienfait de l'art · 31/3/2017 08:04:51


©Photo et œuvre, Emmanuelle Breton

« Si le public déserte la culture, celle qui exige de l’individu un effort d’intériorité et de réflexion, c’est peut-être aussi parce qu’on a oublié ce sens de la culture. On ne sait plus comment la culture peut nous aider et nous apprendre à vivre.

Si elle nous apprend à vivre, c’est justement en nous éloignant des effets de mode, des grands déploiements  «tape-à-l’oeil»  dont parle Bourgie ou encore de ces oeuvres qui provoquent et choquent sans réellement nous remettre en question, c’est-à-dire nous renvoyer à notre condition humaine incertaine et fragile, empreinte de doute, mais qui cherche quelque chose qui ne saurait se réduire à des idées reçues ou à des réponses faciles.

L’art est là pour donner espoir, un avenir, sans savoir ce que cet avenir contient. L’art est là pour donner une profondeur à l’existence. La profondeur prend du temps et elle ne peut exister qu’en dialogue avec un passé aussi proche que lointain. »

Article de Guylaine Chevarie-Lessard – Montréa, Le Devoir, Actualités culturelles, 19 janvier 2017  

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+ Plaidoyer pour l’art

Publié par Pierre Bourgie dans + Bienfait de l'art · 30/3/2017 08:28:11


©Photo et œuvre, Emmanuelle Breton

«Je plaide ici pour une prise de conscience, je lance un appel pour une profonde réflexion. L’art n’est pas une distraction, un amusement, un divertissement. Il n’est pas à prendre à la légère. C’est un langage universel qui unit, qui induit la réconciliation des contraires. Il élève chacun à s’ouvrir à l’autre. C’est sur l’ignorance, l’indifférence et la facilité que prospèrent l’intolérance et les divisions. N’est-il pas pertinent aujourd’hui d’y réfléchir à l’heure où le monde entier est en questionnement, et peut-être déjà engagé dans une spirale destructrice ?

L’art est exigeant. Il demande du temps, de l’introspection, un effort de l’esprit. Il faut aller au concert, lire, visiter les galeries, les musées, aller au théâtre, au cinéma. Il faut apprendre à écouter, à sortir de notre rassurante routine, à confronter nos idées, nos points de vue. Il faut être prêt à être déstabilisé, bousculé dans nos certitudes. Le monde évolue à la vitesse de l’éclair. Il faut s’adapter, constamment. L’humour ne suffit pas. Ni la gastronomie.

Il me semble qu’il faut réapprendre à défendre nos élites artistiques, ceux qui, de tous les milieux et de toutes les tendances, nous tirent vers l’avant et vers le haut, affirment haut et fort des valeurs universelles qui portent une mission unificatrice avec talent, exigence et ténacité, sans compromis.»

Article de Pierre Bourgie, Le Devoir, Actualités culturelles, 7 janvier 2017

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+ L’art comme prescription médicale

Publié par Florence Sara G. Ferraris dans + Bienfait de l'art · 17/3/2017 08:21:33


©Photo et œuvres, Emmanuelle Breton, 2017

« L’exercice semble avoir de réels résultats. « 87 % des gens qui ont fréquenté nos ateliers disent que leur état de santé s’est amélioré et 63 % affirment avoir évité un séjour à l’hôpital, avance le directeur général. C’est énorme ! » Et aucun cas n’est trop lourd. « La plupart de nos participants sont recommandés par leur psychiatre, ajoute-t-il. Un peu comme une sorte de prescription artistique. » Schizophrénie, trouble de la personnalité limite, dépression majeure… les maladies se côtoient donc et s’oublient entre les murs des ateliers, à mesure que les couleurs se mélangent ou que les notes s’harmonisent.

Frédéric Palardy se défend toutefois de faire de l’art-thérapie. « L’idée est plutôt de donner un moment de répit à ces gens, lance l’avocat de formation. De leur offrir un espace où ils peuvent s’exprimer sans avoir à se soucier de l’étiquette de leur diagnostic, un espace pour sortir de leur quotidien qui n’est que ça. D’ailleurs, nos animateurs ne sont pas des thérapeutes, ce sont des artistes. Ils ne sont donc pas là pour parler de maladie, ils sont là pour faire de l’art. »»

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Article de Florence Sara G. Ferraris , Le Devoir, 17 mars 2017





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