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© Photo, Emmanuelle Breton
« Qu’est-
Et son droit d’auteur comporte notamment le droit exclusif de produire, de reproduire, d’exécuter, de représenter, de communiquer, de publier, d’adapter, de modifier la totalité ou une partie importante de son œuvre : ces droits sont ceux que l’on appelle communément les Droits économiques, lesquels sont divisibles et peuvent faire l’objet de licence (i.e. : location) ou de cession (i.e. : vente).
Le droit d’auteur comporte aussi une dimension davantage associée à l’intégrité artistique de l’auteur et de son oeuvre, incluant notamment le droit à sa paternité, à son intégrité et à son association : ces droits sont ceux que l’on appelle communément le Droit moral. [À titre informatif, ce droit ne peut être cédé, mais l’auteur peut y renoncer.]
Le vaste monde du droit d’auteur est donc séparé en deux grandes catégories, soit les droits économiques et le droit moral. »
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MENON, avocat -
©Photo, Catherine Rondeau, Artiste photographe, vidéaste et auteure
"(...) je me frotte depuis quelque temps à une pratique malheureusement courante dans le milieu artistique professionnel : le non-
À titre d'exemple, si on considère que la plupart des expositions restent en salle environ 6 semaines, et en tenant compte du temps de battement entre les expos, cela donne une moyenne de 6 expositions par année pour un lieu de diffusion. En accordant le tarif minimum suggéré par le RAAV pour une exposition solo, soit 1 500 $, cela représente 9 000 $ par année. Qu'un lieu de diffusion culturel digne de ce nom ne puisse pas débloquer environ 10 000 $ par année pour payer les artistes professionnels qu'il trie sur le volet, cela dépasse l'entendement.
Les diffuseurs qui n'ont pas les moyens de verser des redevances se moquent bien souvent de mes convictions, ils ont une longue liste d'artistes prêts à tout pour exposer. Pour ma part, j'estime que c'est une forme d'abus.
A-
Comme l'écrit très justement le scénariste et réalisateur Philippe Falardeau en commentaire à un des mes articles de blogue sur la question :
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RONDEAU, Catherine -
©Photo et œuvre Emmanuelle Breton : Série Désir, no 284, acrylique sur toile, 6 po X 8 po, 2013
"Lorsque l'artiste inuite canadienne Kenojuak Ashevak a vendu sa célèbre estampe "The Enchanted Owl" en 1960, elle a empoché 24 dollars, mais quand son œuvre s'est revendue aux enchères en 2001 pour près de 59.000 dollars, elle n'a rien touché.
Car le Canada, comme beaucoup de pays, ne reconnaît pas un droit sur la revente pour les peintres et les artistes visuels, contrairement aux musiciens, écrivains et cinéastes qui touchent des royalties à chaque fois que leurs œuvres sont vendues, utilisées ou téléchargées."
"Plus de 80 pays reconnaissent le droit à la vente, en accordant aux artistes visuels entre 1 et 5 pour cent des reventes, avec un maximum plafonné à environ 15.000 dollars (13.800 euros)."
"Le droit à la revente permet aussi aux artistes de retracer le parcours de leurs oeuvres et de lutter contre les copies."
Droit de suite -
Artist Resale Right -
LARSON, Nina, de l’Agence France-
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