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©Photo et œuvre Emmanuelle Breton : Série Désir, no 284, acrylique sur toile, 6 po X 8 po, 2013
"Lorsque l'artiste inuite canadienne Kenojuak Ashevak a vendu sa célèbre estampe "The Enchanted Owl" en 1960, elle a empoché 24 dollars, mais quand son œuvre s'est revendue aux enchères en 2001 pour près de 59.000 dollars, elle n'a rien touché.
Car le Canada, comme beaucoup de pays, ne reconnaît pas un droit sur la revente pour les peintres et les artistes visuels, contrairement aux musiciens, écrivains et cinéastes qui touchent des royalties à chaque fois que leurs œuvres sont vendues, utilisées ou téléchargées."
"Plus de 80 pays reconnaissent le droit à la vente, en accordant aux artistes visuels entre 1 et 5 pour cent des reventes, avec un maximum plafonné à environ 15.000 dollars (13.800 euros)."
"Le droit à la revente permet aussi aux artistes de retracer le parcours de leurs oeuvres et de lutter contre les copies."
Droit de suite -
Artist Resale Right -
LARSON, Nina, de l’Agence France-
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